Je vais traiter du genre de ravitaillement requis pour la pratique du trail. Le trail est une course en hors stade qui demande un coût gourmand en énergie.
Cela fait appel à un mode d’alimentation spécifique.
Les apports indispensables pour le traileur
Le trail est distant de plus de 10 km voire 100 km pour les cas les plus extrêmes. On met l’accent à la fois sur les aliments, sur l’environnement du sol comme la dureté, la souplesse et l’environnement direct comme le climat, la température, le vent, sans oublier le dénivelé ainsi que le moment de réalisation du trail.
Ces nombreuses contraintes doivent être compensées par des apports alimentaires qualifiés. Pour plus d’infos sur le sujet, consultez .
Les erreurs à éviter pour les adeptes du trail ou du run
Les traileurs ont tendance à accumuler les erreurs à travers une alimentation mal structurée, des consommations alimentaires mal réparties entre les repas ou une réduction de ces dernières. De plus, le manque de lipides est associé à un manque d’hydratation.
En outre, les conditions d’environnement sont peu consultées au cours de l’effort comme la température, la nuit, le vent, l’humidité, l’altitude, etc. Ces erreurs ponctuelles provoquent des déficiences macro-nutritionnelles en énergie, en protides, en glucides et en lipides.
Cela porte également sur les déficiences micro-nutritionnelles comme les vitamines, les minéraux, les oligo-éléments, les acides aminés et les acides gras indispensables. Cela se traduit par le manque d’efficacité, des problèmes de récupération, des douleurs musculaires et des tendinites.
Le mode de ravitaillement à adopter
Cela passe par des apports énergétiques adéquats avec de la nourriture peu transformée et non raffinée. Il convient aussi de réduire les pertes minérales en sodium, en magnésium, en potassium et en calcium.
Pour prévenir la déshydratation, on insiste sur l’équilibre acido-basique. Cela permet de lutter contre les crampes, les problèmes digestifs.
La texture liquide est à privilégier
Pour une digestion facile et assimilable, la texture doit être plus liquide. De plus, la variété est conseillée pour éviter la lassitude. Ainsi, les aliments solides et riches en lipides et en protéines sont préférables après 4 heures de course.
Enfin, il ne faut pas négliger la boisson énergétique pour réduire la sensation de fatigue musculaire, la mise en avant de la vidange gastrique, et la réduction des stocks de glycogène. Le glycogène porte sur la réserve en sucre au niveau du foie et des muscles.
Pour plus de précisions sur ce type de ravitaillement, consultez .
Crédit Photo : blog.sportaixtrem.com & oughrunneruk.com
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