La différence entre entraînement fonctionnel et analytique

Deux méthodes d’entraînement permettent d’être plus mobile. Je vous invite à en savoir plus sur leurs particularités respectives.

Le but de l’entraînement analytique

C’est l’entraînement dit conventionnel. A titre d’exemple le sportif soulève des haltères en étant couché sur un banc.

La méthode repose sur une décomposition du corps en muscles distincts via les biceps, les pectoraux, les quadriceps, entre autres. Le renforcement musculaire vise l’entraînement isolé de chaque muscle avec une technique identique.

Le travail séparé de chaque muscle cible  un corps plus fort et mieux structuré.

La base de l’entraînement fonctionnel

Contrairement à l’entraînement analytique utile pour récupérer après une blessure, une immobilisation voire dans un cadre esthétique, l’entraînement fonctionnel vise le corps sain. En clair, l’entraînement fonctionnel facilite l’augmentation du potentiel, des capacités.

Les mouvements portent sur le fait de pousser, de tirer, de se baisser, d’enjamber. Il faut inclure le lancer, le rattrapage.

L’entraînement implique davantage le mouvement plutôt que le muscle.

Les mouvements spécifiques de l’entraînement fonctionnel

Globalement, il s’agit de gestes similaires à ceux du quotidien. Plusieurs chaînes musculaires sont sollicitées.

Il faut considérer l’orientation du corps selon la gravité. Le matériel proprioceptif est incontournable.

Il permet de faire appel aux muscles profonds peu requis lors d’un entraînement analytique. C’est le cas du bosu ball, du swiss ball, du core-board.

Par ailleurs, le core-training ou renforcement global du tronc fait partie des indispensables de l’entrainement fonctionnel. Il faut ajouter la contraction pliométrique.

Il s’agit d’une étape d’étirement du muscle. Elle précède une étape dite concentrique de raccourcissement du muscle.

Ce mouvement favorise une plus grande puissance durant un laps de temps très court.

Les stratégies de l’entraînement fonctionnel

Elles relèvent du coach sportif. La première stratégie traite de l’analyse des fonctions comme le saut, la course, la rotation.

Ces fonctions aident à la pratique du golf, du basket, des jeux en famille. Ces analyses sont utiles dans une sorte de banque d’exercices en vue d’améliorer les fonctionnalités.

Quant à la seconde stratégie, elle cible les fonctionnalités du sportif toujours à travers la manière de tourner, de sauter, de courir. Il faut relever les diverses déficiences afin de les combler.

Cela revient à étudier la fonctionnalité d’un individu sédentaire souvent assis au bureau. Ses déplacements sont limités à son trajet du bureau au domicile.

Dès lors, il convient d’améliorer le corps suivant sa conception et ne pas s’appuyer sur les mouvements réduits. Retrouvez d’autres concepts ici.

Crédit Photo : openforme.fr & coach-sportif-andernos.fr

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